Pour la petite histoire…

Roch Hocepied

Comme bien d’autres belges, Roch Hocepied naquit en 1970.

Avec une vie très éclectique dans de nombreux domaines, Roch Hocepied est avant tout un philosophe-poète. Jadis, organisateur de nombreux dîner-concerts dans le cadre de la maison d’hôte les « Causeries du Briot » (be), petit-à-petit il est passé de l’autre côté de la scène pour commencer à « dire » sa poésie.

Il vit aujourd’hui principalement en Bretagne, entre sa « tour » et son vieux voilier en bois pour, prioritairement, se consacrer à la poésie et à sa diffusion (avec la création d’une maison d’éditions « Les voiles du poète »), ainsi qu’à « Hère de Saint Roch » – et cela en Bretagne comme en Belgique.

La poésie peut se comprendre aussi comme un art de vie.

Charles Hocepied

Charles Hocepied, lui, est né d’une bonne étoile en l’an 2000. Très vite il assistait en pyjama aux concerts donnés dans la salle d’hôte, reçut une guitare classique trop grande pour lui, avant que la Fender ne vienne faire résonner la maison de son travail incessant.

Sur scène depuis ses douze ans grâce à la Teenage-Rock de Hannut, Charles fit partie de différents dynamiques groupes de « cover ».

Comme pour rester dans le domaine artistique, il est aujourd’hui devenu ingé-son, issu de l’Insas.

Si « Hère de Saint Roch » fit ses débuts avec le groupe de garage-rock de Charles et ses amis – les « Tonton Didier » -, c’est peut-être à l’achat d’une « Martin » acoustique d’occasion à Morlaix que l’histoire commença réellement: « J’espère qu’elle entendra tes propres compositions ».

Il en fut presque ainsi et les thèmes s’enchaînèrent, faisant voler les mots de son père.

Tout cela fit naître « Hère de Saint Roch » sous sa forme actuelle qui, après un long travail pour poser une œuvre – si pas accomplie, au moins en bonne marche -, commence à se présenter au public.

On sent bien sûr toutes les inspirations qui ont marqué Roch Hocepied pour la lecture de ses textes (de Brel à Ferré, en passant par J. Higelin ou Gainsbourg, mais aussi toute l’émotion que réussissaient à faire passer les grands groupes de rock); il n’en reste pas moins que c’est un travail très personnel où son émotion et son sang viennent inviter l’auditeur à rentrer dans son monde poétique ; la guitare de Charles Hocepied faisant le reste…

Cette guitare qui, elle, s’est d’abord biberonnée aux sons du rock-classique pour ensuite s’ouvrir à tout ce qui la fait vibrer.